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Revue de presse

Extraits du dossier de presse

Les Vibrants

" Un texte bouleversant, une mise en scène cinématographique qui nous cueille dès les premières lignes grâce un à sens de la pudeur très touchant. Chaque scène est de cette trempe, sobre, décente, mais aussi vibrante et déchirante. Quentin Defalt comme à son habitude soigne son esthétique et séduit les amateurs d’images saisissantes. C’est un travail d’orfèvre tout en sensibilité et avant tout une magnifique déclaration d’amour au théâtre, celui qui sauve les hommes de leur mal-être et  qui guérit les âmes blessées. " Théâtres.com (Audrey Jean)

 

" Je vous recommande chaudement Les Vibrants, une « fresque romanesque » qui s’attache aux parcours douloureux des Gueules Cassées. Soutenu par un travail sonore très soigné et une élégante scénographie de voiles blancs, le spectacle évite tout pathos et offre aux quatre comédiens une belle partition historique, romanesque et suffisamment maligne pour que l’on se demande si cet Eugène a bel et bien existé… ou pas. " La république du Théâtre (Charlotte Lipinska)

 

" Cette création est notre grand coup de cœur du Off. Un texte magnifique que l’on doit a une jeune auteure, Aïda Asgharzadeh. Quatre comédiens très talentueux incarnent les 16 personnages de la pièce. Le metteur en scène, Quentin Defalt, a su traduire en 1h20 les souffrances du personnage principal dans des tableaux qui s’enchainent comme au cinéma. On vibre, assurément, dans cette création qui méritera après Avignon une grande tournée nationale ! " Radio Vinci Autoroute (Maryelle Tillie)

 

" La compagnie Teknaï nous conte le destin d’Eugène avec une mise en scène tout en délicatesse de Quentin Defalt. Sur la scène, de hauts voilages blancs laissent deviner par un admirable effet des décors et des personnages. Des ampoules tombantes ajoutent à cette esthétique toute soignée comme un tableau clair-obscur. Les comédiens réussissent à rendre l’émotion d’un texte poignant et vibrant ! On en sort ému et on ne peut qu’applaudir cette ode à l’humanité qui fait tomber tous les masques possibles. " Théâtrorama (Moussa Kobzili)

 

" L’incroyable richesse du texte, l’ingéniosité de la scénographie et des costumes permet aux comédiens talentueux d’incarner seize personnages sur scène, sans alourdir le propos ni rendre la pièce confuse. La mise en scène, sans concessions, plonge le spectateur à la fois dans l’horreur de la guerre et le désespoir des Gueules Cassées mais en rendant justice au moment de bonheur et de joie qui ont existé en temps de guerre. C’est une pépite, une création à ne pas manquer. " Festi.TV du Off (Frédéric Folliet)

 

" Spectacle lauréat du Coup de cœur du Club de la Presse du Festival d’Avignon 2014. Un prix mérité qui vient couronner le très beau travail de l’ensemble d’une équipe. " Vaucluse matin (Jean-Dominique Réga)

 

" Avec les astuces trouvées pour donner de la profondeur de champ au plateau, les flash-backs et les voix off, Quentin Defalt emprunte au monde du cinéma bon nombre de codes. De vous écrire alors que les acteurs sont tous à la hauteur de l’enjeu, je peux le faire car j’ai assisté à mon premier film théâtral. Les Vibrants est un spectacle magnifique. " Ouvert aux publics (Laurent Bourbousson)

 

" Les Vibrants sont à part : ils font partie de ces spectacles qui nous prennent à la gorge dès les premiers instants et ne nous lâchent qu’à la toute fin, vibrants, comme un rappel à la vie, d’émotions. A voir de tout urgence ! " Licra.org

 

" Le sujet est baroque, fantasque en diable, et surtout éminemment théâtral. L’esthétique adoptée relève davantage du cinéma que du théâtre. Les Vibrants est une pièce ambitieuse. Les choix assumés de mise en scène et de jeu sont sublimes et l’on ne peut rester sourd à son esthétique paroxystique et conceptuelle. " Les Trois coups (Corinne François-Denève)

 

" Un magnifique hommage historique porté par des comédiens qui nous laissent à penser que cette histoire pourrait ne pas être une fiction tant la mise en scène de Quentin Defalt et le texte d’Aïda Asgharzadeh sont surprenants de réalisme. " La Provence (Chloé Baquière)

 

" Voici le coup de cœur, le vrai, le grand, le plus, le mieux, j’ai même envie de faire exception à l’exigence de la langue française pour dire « le plus mieux » : Les vibrants que l’on peut, toute proportion gardée et modestement, qualifier de chef d’œuvre. Un spectacle terriblement touchant qui lie l’art et les conséquences de la guerre. Le texte est magnifique et le travail de mise en scène de Quentin Defalt contribue à cette tension émotive qui sans sombrer dans le tire larme rend certaines scènes éprouvantes. Divinement bien interprétées par les quatre comédiens (dont l’auteur) le spectacle a déjà eu remporté le prix du coup de cœur de la presse du Vaucluse et les récompenses risquent de s’accumuler bien rapidement. " Au balcon.fr (Pierre Galouise)

 

" Aïda Asgharzadeh a su aborder le sujet des Gueules Cassées, rarement évoqué au théâtre, d'une manière originale et instructive. Le décor, jouant entre voilages légers et apport d'une lumière très ciblée, est sobre. Les comédiens sont tous excellents. Il serait bon de proposer ce spectacle à un jeune public pour évoquer ce pan de la grande guerre dont on ne parle que très rarement. "

Bon Plan Théâtre (Jeanne-Marie Guillou)

 

La Reine des Neiges

" Quentin Defalt conserve la dualité de lecture du conte, structurante pour les enfants et réflexive pour les adultes, et présente un spectacle qui ne verse pas dans le lénifiant cartoonesque en s'appuyant sur une scénographie épurée et judicieuse de Agnès de Palmaert, reposant sur la modularité de cubes de plexiglas transparents qui agit en remarquable symbiose avec le magnifique travail des lumières en clair-obscur caravagesque de Philippe Littlejohn. Par ailleurs, l'utilisation d'échasses et de masques - belles créations de Chloé Cassagnes - pour camper les personnages adultes permet d'introduire un rapport de taille entre adulte et enfant et le nécessaire sentiment d'étrangeté fantastique. ​La rigueur est également de mise pour la direction d'acteur ce qui contribue à une belle homogénéité de jeu. " Froggy's delight - M. M

 

" L'adaptation du conte d'Andersen, La Reine des Neiges, mise en scène par Quentin Defalt, souligne la tristesse de l'enfant meurtri et privé de liberté. Un univers sombre, à l'esthétique soignée. " Télérama

 

" Un spectacle fort. Peuplé de créatures étranges, ce voyage fantastique et initiatique à la beauté mystique est tout simplement envoûtant. " Pariscope - Caroline Munsch

 

" Superbe adaptation théâtrale du conte d'Andersen. Les sept comédiens interprètent avec brio les nombreux personnages qui jalonnent le récit. La scénographie, constituée exclusivement de cubes en plexiglass translucides, les lumières en clair-obscur, la monochromie des teintes des costumes, la musique, donnent à cette Reine des Neiges une intensité dramatique poignante et touchante. " Radio Aligre



La marquise de Cadouin (Les Cadouin #3)

" Voilà un bel exemple d’un théâtre qui montre les choses telles qu’elles sont aujourd’hui, à travers le prisme de l’histoire. Ils dressent ainsi le portait sans complaisance d’une nature humaine méprisable. Si, dans un premier temps, le spectateur refuse de reconnaître ces personnages, la symbiose agit dans un second temps. Cette symbiose s’explique par la présence de ces acteurs remplis d’une conviction et d’une drôlerie pénétrantes. L’espace qu’ils proposent fonctionne car il est avant tout partageable par tous, il trouve son horizon du coté de la médiocrité, de la fragilité humaine. (...) " Inferno Magazine - Quentin Margne



Brita Baumann (Les Cadouin #2)

" C'est dramatiquement drôle ! Avec beaucoup de finesse et la dose d'outrance nécessaire, les comédiens incarnent ces personnages pathétiques. La mise en scène de Quentin Defalt est impeccable. " Pariscope - Marie-Céline Nivière



" Rien n'est jamais gratuit, chaque mot, chaque geste, chaque silence font sens. Une distribution impeccable restitue avec justesse tout le tragi-comique des personnages dont l'existence se désagrège sous nos yeux. " Télérama - M.B.



" Le théâtre de Gaëtan Peau et Quentin Defalt nous plonge dans la réalité d’une partie de la société française, douloureuse et tragique. Leur théâtre nous aide à explorer ce monde. Un théâtre réfléchi, drôle, décalé et néanmoins en forme de cri d’alarme. On attend avec impatience la suite des aventures… " Scèneweb.fr - Stéphane Capron



Monsieur Martinez (Les Cadouin #1)

La médiocrité des existences de cette humanité ordinaire pourrait facilement verser dans la platitude. Or c’est loin d’être le cas, grâce à un remarquable travail de scénographie et de mise en scène. Le décor en deux dimensions (les photos en taille réelle), les costumes, le maquillage, tout contribue à créer un univers à la fois décalé et convaincant. Une vraie réussite." Les Trois coups - Fabrice Chêne



" Monsieur Martinez (Les Cadouin #1) est une merveilleuse aventure sur l’humanité et la détresse. En utilisant le burlesque pour décrire des situations désespérantes l’équipe met le spectateur en danger, coupable de rire devant tant de souffrance intérieure. On ne sort pas totalement indemne du spectacle. " Scèneweb.fr - Stéphane Capron



" Tout azimuts, les personnages déroulent le fil d'une habile réflexion sur la société. L'éducation des masses, la solitude, l'inégalité des chances, la phallocratie se bousculent au portillon jusqu'au climax, lourd comme un couperet. " Direct Soir



Lancelot

" Le metteur en scène s'appuie sur une scénographie solide et inventive : une réussite. Tout comme l'univers sonore et les subtiles lumières de Philippe Littlejohn qui accompagnent le spectacle de bout en bout. Si on ajoute à cela les sublimes costumes et les maquillages sophistiqués, on peut vous affirmer que, visuellement, tout est mis en place pour séduire un large public. " Pariscope (Dimitri Denorme)

 

" Saluons le travail d’écriture et la mise en scène soignée de Quentin Defalt, qui nous livre ici une belle adaptation poétique, rythmée par des combats millimétrés savamment mis en lumières par Philippe Littlejohn. " Pariscope (Caroline Munsch)

 

" Revisiter les chevaliers de la Table ronde et le mythe de Lancelot n’est pas la chose la plus aisée, surtout au Théâtre. Patrice Camboni a réglé des combats qui font frémir la salle. On est emporté par la générosité, l’enthousiasme, l’incroyable énergie des comédiens. Chrétien de Troyes n’est pas toujours très facile à lire et ce spectacle nous fait entrer dans un univers merveilleux. Un cheval de Troie pour une des œuvres qui a le plus marqué l’histoire de l’Occident. " Figaroscope (Jean-Luc Jeener)

 

" Une fresque moyenâgeuse des plus séduisantes. La Compagnie Teknaï offre un spectacle visuellement enthousiasmant, revisitant avec fidélité, originalité, fraîcheur, humour aussi, la légende de Lancelot, à partir des ouvrages de Chrétien de Troyes et de Geoffroy de Monmouth. Troupe épatante, mise en scène d’une fluidité exceptionnelle, images sublimes, magie, combats réglés au millimètre… Nous n’avons pas boudé notre plaisir. " FousdeThéâtre.com (Thomas Baudeau)

 

" La mise en scène, remarquable, s’appuie sur l’épure des décors mobiles, qui délimitent l’espace du pouvoir comme celui de l’enfermement, la souplesse efficace des corps, les combats chorégraphiés, les épées qui sonnent et les corps qui souffrent. Un univers déchiré de bestialité, exacerbé de désirs, à peine tempéré de courtoisie, traversé d’orages, ceux de la nuit et ceux du cœur. On sort troublé de ce bouleversement des idéaux. Mais émerveillé, et secrètement rassuré par la sensualité qui se dégage des corps, les désirs qui les taraudent, la soumission dérisoire, la peur ordinaire. Tant d’humanité à portée du rêve… " Spectacles Sélection (Annick Drogou)

 

" Pour les grands comme les petits, ce spectacle est une plongée dans l’univers féérique des Chevaliers de la table ronde. Superbement chorégraphiés, les combats s’enchaînent au fil de l’épée, dans un clair-obscur propice à l’imagination. Tout en métal et en fourrure, les costumes plongent les spectateurs dans un Moyen Age réinventé, où l’on s’attend à voir surgir à tout instant la magie de Merlin. "

Le Magazine Info (Joévin Canet)

 

" Ce spectacle se veut une brillante BD animée où éclairages et costumes soignés nous transportent sans peine vers l’époque médiévale. " Reg’Arts

 

" Tout l’imaginaire relatif à la chevalerie est présent. Les vaillants combattants du roi Arthur sont mis en scène avec précisions et le spectacle nous offre des tableaux de toute beauté. " Théâtre.com

 

" Une mise en scène qui réserve de beaux combats à l’épée réalistes, quelques traits d’humour et une scénographie esthétique qui permet de beaux effets de clair-obscur. " Télérama

 

Aztèques
" N'ayant plus guère l'occasion d'assister à de pareilles sagas scéniques, le spectateur reste cloué à son fauteuil jusqu'au bout. (...) Difficile de mettre le doigt sur les raisons exactes de cet ensorcellement. Est-ce la force des personnages ? La musique à fleur de texte ? La beauté des costumes et des maquillages ? Sans doute un peu de tout cela et sûrement ce quelque chose de trouble qui échappe à l'analyse : la Grâce. "

A nous Paris - Myriem Hajoui



" Une réussite. La mise en scène de Quentin Defalt est très efficace. C'est beau et bien joué. " Figaroscope - Jean-Luc Jeener




Britannicus
" On est dérangé, ému, bouleversé par la violence et les contradictions des passions. On passe une merveilleuse soirée. "

Le Figaro - Jean-Luc Jeener


" Une mise en scène imaginative et subtile. Toute la compagnie Teknaï mérite d'être saluée. Les comédiens nous font bien parvenir ce texte réaliste, cru, violent, parfois drôle, souvent difficile. Ils nous cueillent à tout instant. Une réussite. " Pariscope - Lise de Rocquigny



" Une des grandes vertus de la mise en scène de Quentin Defalt consiste à plonger les spectateurs au cœur de ces intrigues, d'abord en rendant la trame de la tragédie remarquablement claire, ensuite en choisissant une mise en scène itinérante. " Theatronline - Sarah Gurcel

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